dimanche 23 mars 2014

Que lire cette semaine ?



on me l'avait conseillé, je l'ai littéralement dévoré ! 
Bien loin de l'univers humoristique que j'aime tant, c'est au contraire un roman d'une noirceur indéfinissable ... Et pages après pages, on ne sait que penser. On ne cesse de se questionner. De réfléchir. De tourner et retourner les éléments dans tous les sens... Mais rien y fait, l'intrigue est trop bien ficelé. Rien n'est dévoilé avant les dernières pages, les dernières minutes... 
Bluffant ! 


Synopsis 

Le Mot de l'éditeur : Juste une ombre

'Tu te croyais forte. Invincible. Installée sur ton piédestal, tu imaginais pouvoir régenter le monde. 

Tu manipules ? Tu deviendras une proie. Tu domines ? Tu deviendras une esclave. 

Tu mènes une vie normale, banale, plutôt enviable. Tu as su t'imposer dans ce monde, y trouver ta place. 

Et puis un jour... Un jour, tu te retournes et tu vois une ombre derrière toi. À partir de ce jour-là, elle te poursuit. Sans relâche. Juste une ombre. Sans visage, sans nom, sans mobile déclaré. On te suit dans la rue, on ouvre ton courrier, on ferme tes fenêtres. On t'observe jusque dans les moments les plus intimes. Les flics te conseillent d'aller consulter un psychiatre. Tes amis s'écartent de toi. Personne ne te comprend, personne ne peut t'aider. Tu es seule. Et l'ombre est toujours là. Dans ta vie, dans ton dos. Ou seulement dans ta tête ? Le temps que tu comprennes, il sera peut-être trop tard..."

L'auteur
Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Après une scolarité sans histoire où il lui arrive de s'ennuyer, elle poursuit des études de droit tout en s'essayant à divers boulots, pas toujours gratifiants mais souvent formateurs. Parallèlement, elle se lance dans l'écriture d'un polar et parvient à y mettre un point final. Son premier roman, Terminus Elicius (Éditions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005. 

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